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 Les guerres d'Archeïa

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MessageSujet: Les guerres d'Archeïa   Les guerres d'Archeïa EmptyMar 21 Aoû 2007 - 15:23

Ami, si tu trouves dans tout l’Imperium ennemi plus redoutable que l’Ork, c’est que tu n’as pas fais avec moi la conquête de la cité-ruche Archeïa VII. Si en entendant mes paroles tu ne trouves aucune crédibilité, c’est que tu n’est que cadet et que ton expérience est encore jeune. Ami, si tu n’oses croire un vétéran des guerres d’Archeïa, c’est que ta fougue et ta quête de gloire t’on rendu fou.

J’avais passer mes jeunes années sur un monde tranquille, en parfaite communion entre ma terre et mon âme. Je vivais en compagnie de parents adoptifs. Ma mère était morte lors d’un accident stellaire et mon père était l’un des fiers Ultramarine de Maccrage. Je ne m’intéressait guerre à toutes ces batailles, a l’Imperium et a ses ennemis. Ami, je vois ton air farouche. N’est crainte, je n’ai jamais pour autant raté une prière a l’Empereur. Je mets en lui toute ma foi et ma bravoure. Mais dans cet îlot de tranquillité, il était dur de penser qu’à peu, hommes et créatures infâmes s’entretuaient. On m’avait toujours mis en garde contre les ennemis de l’humanité, mais je n’avais jamais pensé à leur propos. Bien sur, j’avais vu quelques images de champs de bataille, mais jamais je n’aurais penser en affronter un jour. Je vivais paisiblement jusqu’au jours où je reçu ma convocation pour le XVII eme Cadien.

La nouvelle fut pour moi telle une encoche cruelle en mon âme. Je n’avais jamais quitté mon monde natal, et partir à l’aventure à la conquête de cette cité qui m’étais inconnu m’étais impossible. Mais je finis par être raisonné, après avoir appris la sanction réservée aux lâches et aux déserteurs. L’on m’avait toujours conté moults histoires fabuleuse à propos de généraux justes et braves. Comment ces généraux pouvaient-ils m’arracher à ma planète natale?

Le jour de mon départ arriva enfin. Une journée froide et grise. Une journée triste. La navette se posa aisément sur le sol. Mon sol. Moi, mes amis, nos familles, attendaient silencieusement. Un commissaire sortis de la navette et fis entrer les jeunes recrues. Malheureux et tremblant, j’allais m’effondrer au fond. Quelques larmes de désarrois coulèrent le long des mes joues. Je finis par me lever, pour aller chercher mon barda et mon uniforme. Je n’étais plus Igor Iphram, j’étais désormais un cadet. Le soldat Iphram. Je n’étais plus rien. Plus rien qu’un nom sur une liste. Plus qu’un objet de l’Imperium. Tous mes compagnons d’infortunes aussi étaient effondrés. Seul un sergent, déjà habitué des champs de bataille, souriait, passait voir tout le monde. Il s’approcha de moi.
« En te voyant, j’ai cru que t’étais un cadavre, affirma-t-il, goguenard.
-Je ne sais pas comment le prendre, Sergent.
-Prends-le comme tu le souhaiteras.
-Sergent, pourquoi n’ai-je pas reçu de formation?
-Nous sommes dans un cas d’extrême urgence. Les orks ont débarquer Dieu seul sait quand et comment et nous nous retrouvons en une position très délicate. Nous ne pouvons abandonner ce monde, comprends-tu? L’apprentissage se fera sur place.
-Je vois.
Il sortis un paquet de son sac.
-Cigarette?
-Avec plaisir, Sergent.
Il me tendis une cigarette.
-Quand cette même navette est venue me chercher, autant te dire que la peur m’a presque empêché de monter. J’étais terrassé. Chaque bruit, chaque mouvement dans la navette me pétrifiait. Alors l’arrivée sur le champ de bataille, je t’en parles pas. J’ai jamais aimé tuer des gens. Même n’importe quel tyrranide. Ça me dégoûte. Quand je suis devenu Sergent, j’ai tuer deux d’entre nous parce qu’il avait fuis le champ de bataille. Dès lors je suis devenu plus dur. J’ai appris à avoir l’envie de tuer.
-Je ne vois pas d’où vous voulez en venir, Sergent.
-Tu t’appelles bien Igor Iphram?
-C’est ça.
-Eh bien, n’est crainte. Je serais ton sergent dans la bataille. Je te guiderais. Et personne dans notre unité ne tombera.
-Pourquoi est-ce que vous me dîtes tout ça, Sergent?
-Je suis d’Archeïa. Et je ne laisserais en aucun cas ces primitifs ravager ma patrie. »
Il se leva et me balança son paquet de cigarette. Sans un mot, il partit. Perplexe, je regardais ça silhouette épaisse passer le sas réserver aux officiers. Je me laissais aller a dormir.

Je fus réveiller brusquement. Un homme me secoua. On me hurla des ordres. Dans toute la navette, c’était la cohue, le bruit, la bousculade. Tout le monde s’affairait, et moi, au milieu de tout ça, je regardais dans le vide. J’étais dans ma rêverie. Le commissaire arriva en courant, nous plaça tous contre la paroi.
-Soldats. L’heure est grave. L’ennemi n’est pas loin. Nous allons vous distribuer les fusils lasers et vous regroupez par unités de dix, avec un sergent. En aucun cas vous ne devrez fuir, tenir des propos indigne des fils de l’Empereur, désobéir aux ordres de votre sergent. Toutes ces conduites seront punies de morts. Me suis-je bien fais comprendre?
-Oui commissaire.
-Bien. Vos Sergents vont vous appelez. Je vous demande toute votre attention.
Je vis alors mon Sergent, sortir du rang des officiers pour se mettre bien en face de nous.
« Je suis le Sergent Franz Erian. Je vais appelez dix d’entre vous. Je veux que vous vous placiez tous chacun votre tour à gauche pour recevoir quelques papiers. C’est clair?
-Oui Sergent.
-Alors…Lionel Kurd, à ma gauche. Mark Horn, à ma gauche. Igor Iphram, à ma gauche. Mike Stork, à ma gauche. Mike Stork? Est-ce que Mike Stork est là? Ah. Il f audra apprendre à ce dépêcher, soldat. Et a ne pas faire attendre ces supérieurs. Bon. Erwan Eston, à ma gauche. Philip Winston, à ma gauche. Roy Lander, à ma gauche. John Willis, à ma gauche. Edward Horrison, à ma gauche. Et Tom Smith, à ma gauche. Aller, dépêchons. »

Nous fûmes débarquez de la navette dans une base high-tech, une de ses bases toute neuves que l’on trouve un peu partout dans l’Imperium. La première chose que notre Sergent nous apprit fut de prier l’Empereur comme un soldat.
« Nous avons chacun nos moments à nous, lorsque l’on est un civile. Lorsque l’on est soldat, on en a plus qu’un. La prière a l’Empereur. Il n’y a pas de texte précis à apprendre. C’est juste vous qui devez lui dire ce que vous souhaitez. Ce que vous ressentez. Ce que voudriez faire.
-Bien Sergent.
-Il n’y a pour cela qu’une façon. Ouvrez grandes vos mains. Voilà, ainsi. Croisez vos pouces de sortes à représenter un aigle Impérial. Collez-les à votre poitrine. C’est ainsi que chaque soldat pris l’Empereur. Et désormais que vous avez appris, nous allons priez.

Le Sergent s’agenouilla et pria. Il avait l’air si paisible. Mais je savais quand lui se cachait une fureur aveugle, que seul l’homme terrassé par le malheur connaît. Le silence ce fit parmi nous et nous nous mîmes à priez. Je n’avais rien ni personne à priez, ni à protégez. C’est pourquoi je priais pour le salue du Sergent.
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MessageSujet: Re: Les guerres d'Archeïa   Les guerres d'Archeïa EmptyMer 22 Aoû 2007 - 21:03

Le Sergent se releva et attendit respectueusement que nous aillions finis. Il nous distribua nos fusils lasers. Je fus étonné par le poids extrêmement léger des fusils, et leur maniabilité.
« Bien, soldats. J’aimerais vous prévenir tout de suite. Certain d’entre vous vont mourir. Alors qu’ils étaient vos amis, vos frères, ça m’est égal. Un soldat de l’Empereur reste impartial en toute situation. Si vous n’êtes pas capable d’avoir ce comportement vous serez abattu. Je veux que si l’un des nôtres ce fait abattre, vous continuiez à me suivre. Ceux qui s’arrêterons pour tenter de ranimer la victime seront abattu. Un homme mort au champ de bataille est couvert de gloire. Alors laissez-les.
-Mais Sergent, s’il est juste blessé? questionna Lionel Kurd.
-Si l’on est sur une zone couverte, faite appel à un médecin.
-Et…si l’on est sur une zone découverte? osa Roy Lander
-Et bien…vous me suivez. Et on laisse le blessé. On ne peut pas s’arrêter en plein champ de bataille avec des Orks furieux partout.
-Mais c’est indigne de la conduite des fils de l’Empereur! m’ecriais-je
-Soldat Iphram! Vous vous croyez dans une fable?! Vous croyez vraiment que je vais m’arrêter au risque de faire tuer d’autres de mes hommes à la place d’un seul?!Vous croyez vraiment ce que toutes ces histoires stupides raconte?! L’Empereur n’a que faire de la vie d’un cadet, nom de Dieu!
-Mais toutes ces histoires sur les affiches et…
-Silence, soldat! Toutes ces histoires ne sont que des foutaises! Vous étiez assez naïf pour croire tout ça?!Nous ne sommes pas dans un mythe, mais dans une réalité! Une réalité pourrie par la guerre alors fermez votre grande gueule, Iphram et écouter!
Il y eu un silence tendu. Toutes ces révélations. L’Imperium mentait. Nous nous battions en vain, l‘Empereur n‘en saurait rien.. Nous devions laissez nos frères blessez se faire achever sur le champ de bataille. C’était insupportable pour nous tous.
-C’est…bien clair pour tout le monde?
-Oui Sergent, répondirent les autres du voix morne.
-Bien…je…heu…n’ayez aucun scrupules à…tirer sur l’ennemi. Dites-vous que lui, il n’en aura pas, qu’il vous tuera sans penser au mal qu’il fera à vos familles, à vos amis. Vous comprenez, soldats, qu’un Ork n’a aucune conscience et aucun sentiment humain. Ces créatures infâmes sont ignobles et tuent par plaisir, à cause des caprices d’un de leur seigneur de guerre. Croyez-moi bien, mes amis, qu’un Ork ne vous laissera pas la vie sauve parce que vous l’implorez. Il sera capable de ralentir votre mort en vous torturant, mais la plupart du temps, il vous enfoncera la nuque d’un bon coup de Kikoup. C’est compris?
-Oui, Sergent.
-Et bien je dois vous présentez quelqu‘un. »
Il s’avança et sortis de la base. Il ouvrit grand se bras et nous présenta un tas de décombre fumantes et dis:
« Messieurs, Archeïa la Superbe! »

Des carcasses de bâtiments, des vaisseaux explosés et surtout ces décombres rougeâtres et brûlées, parfois carbonisées, qui tapissait le sol tel un épais tapis difforme.
Celle que l’on surnommait la Superbe n’était plus que des décombres. Je vis le visage du Sergent se fermer et il se mit a respirer difficilement.
Il n’y avait pas un souffle de vent et l’on commençait a sérieusement à avoir du mal à respirer. Lionel Kurd se mit à tousser.
« Sergent…est-ce que l’air manque toujours autant par ici?
-Dans la ville vous pourrez mieux respirer, mais ici, sur la butte, l’oxygène est rare. Bien, alors, nous allons descendre discrètement et essayer d’atteindre le flanc Sud. Une fois sur place, les créatures Orkoïdes ne seront plus très loin, et c’est pourquoi je vous demande de redoubler de vigilance et surtout de me prévenir de tout bruit suspect. Compris?
-Oui, Sergent.
-Alors allons-y. Juste une chose. Si je meurs, soldat Roy Lander, les ordres font de vous un sergent. Voilà. Bon, allons-y. »
Nous nous mîmes tous à descendre la butte en retrouvant peu à peu avec plaisir des doses plus normales d’oxygène. Nous arrivions sur le flanc sud, lorsque Hedward Horrisson murmura au sergent:
« Sergent je crois que…j’ai vu quelque chose, par là-bas…c’était…
-Les Orks! Tous à couvert! Derrière ces décombres. Vite!
Les Orks nous avaient, contre toutes attentes, surpris de dos et se ruaient vers nous en hurlant. Jamais je n’ai eu si peur de créatures inhumaine. Je pris mon courage à deux mains en repensant à la promesse d’Erian. Personne n’allait mourir. Pas dans notre unité. Pas dans sa cité. Arrivés à la carcasse d’immeuble qu’il nous avait montré, nous montèrent fébrilement dans les étages.
-Dès qu’ils arrivent, balancez des grenades et planquez-vous!
Tremblants, apeurez et surtout très émus(tuez quelqu‘un, vous vous rendez compte!)nous nous penchèrent pour les voir arrivez, mais le Sergent eu tôt fait de nous faire reculez:
-Je veux un effet de surprise. Ils ne savent pas qu’on est là!Si vous vous pointez, c’est foutu!
-Mais…ils nous ont vu passez par là, Sergent!
-Les Orks sont trop débiles pour comprendre que c’était pour ce cacher. Aller, silence, ils ne sont pas loin.
Ils étaient déjà tous là, grommelant, fourrageant le sol, humant l’air, tendant l’oreille, tressaillant au moindre bruit. Lorsque je les voyait là, si primitif et si touchant à la fois, je me surpris à penser à ne pas jeter ma grenade, mais je me souvins des punitions infliger à ceux qui pensait ainsi. Le Sergent compta trois avec ces doigts et nous fis signe de balancer les grenades. Une. Deux. Cinq. Dix. Des explosions, des cris de surprise et de douleurs. Et un lourd silence. Inquiétant.
-C’est bon, soldats, on peut partir.
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